- Josef Garriga y Buasch et José María San Cristóbal. 1804.  Curso de química 
general aplicado a las artes. 2 vol. Paris, Crapelet.
 
Etudes consacrées à l’auditeur,  ouvrages où l’auditeur est cité 
- Marcos Jiménez de la Espada. 1882. Note bibliographique sur une œuvre de Josef 
Garriga Buach : Uranografía o descripción del cielo. Manuscrit original gardé 
aux Archives de la bibliothèque générale du CSIC (C/ Duque de Medinaceli 6, 
Madrid).
 
- José María López Piñero, Thomas F. Glick, Victor Navarro Brotons et Eugenio 
Portela Marco. 1983. Diccionario histórico de la ciencia moderna en España. Vol. 
I, p. 389. Ediciones Península. Barcelona.
 

Archives 
- Archivo del Museo Nacional de Ciencias Naturales. CSIC. C/ José Gutiérrez 
Abascal, 2. 28006 Madrid, Espagne.
 
- Catálogo de Documentos del Real Gabinete de Historia Natural (1787-1815). Mª 
Angeles Calatayud Arinero. 2000. Consejo Superior de Investigaciones 
Científicas. Museo Nacional de Ciencias Naturales, Madrid, 219 pages.
 
- Dossier 64 : Ouvrage publié par Garriga sur le squelette du Megatherium trouvé 
en Amérique du Sud et exhibé à Madrid.
 
- Dossier 114 : Josef Garriga sollicite conclure la publication l’ouvrage 
Colección de las producciones de los mares de España formada por orden de S.M. 
initié par Antonio Sáñer Requart. Inclut une lettre signée, datée du 2 Février 
1797.
 
- Dossier 450 : Brouillon d’une lettre dirigée au Ministre de l’Etat pour 
exprimer l’accord favorable de la Junta de Protección del Museo à la sollicitude 
de Garriga qui veut en faire partie en qualité de membre. Datée du 1 Juillet 
1833.
 

Commentaire  
Outre la similitude des signatures, plusieurs références confirment 
l’identification du personnage. Sur le frontispice de son ouvrage sur la 
description du squelette d’un quadrupède, il fait figurer son grade de capitaine 
d’ingénieurs cosmographes, ce qui souligne ses connaissances en astronomie. Par 
ailleurs, Garriga signe Uranografía o descripción del cielo, un traité en cette 
discipline, avec son nom complet : Josef Garriga y Buach, validant ainsi 
l’entrée du dictionnaire de López Piñero sur l’auteur.