teroit un calendrier en rapport par sa distribution avec les tableaux 
d'observations indiqués ci-dessus, seroit sans contredit un ouvrage infiniment 
utile.
 

On sent, par exemple, que le calendrier dont il s'agit doit partager l'année en 
un certain nombre de constitutions, qui correspondent aux différentes 
déclinaisons de la lune, qu'il doit en même temps montrer tous les points 
lunaires importans, tels que les apsides, les sizygies, les quadratures, les 
équinoxes lunaines et les lunistices, concurremment avec les diverses situations 
du soleil par rapport à nous, situations utilement indiquées par les huit 
saisons météoriennes ; qu'enfin il doit nous mettre dans le cas d'appercevoir 
par un simple coup-d'oeil, les combinaisons de plusieurs de ces points lunaires 
entr'eux et avec les saisons météoriennes, afin que leur résultat en soit 
aisément remarqué, et ensuite vérifié dans les circonstances semblables.
 

Un Annuaire météorologique est donc