lunaires, et le temps pour obtenir ces observations ne pouvant m'être accordé,
j'ai dirigé mes études vers la recherche des rapports qui se trouvent entre les
variations d'influence de chaque point lunaire et les diverses situations dans
lesquelles chacun de ces points peut se rencontrer.
De cette étude faite en consultant tous les détails de quatorze années
d'observations, j’ai enfin obtenu les résultats suivans, sur lesquels je ne peux
élever le moindre doute, tant les faits qui les établissent se sont trouvés
nombreux et dominans.
1°. Les points lunaires qui tombent fort loin de l’équateur, comme dans les
jours lunisticiaux, et sur-tout dans le jour même d'un lunistice, perdent, dans
cette circonstance, une grande partie de l'influence qui leur est propre ;
2°. Les points lunaires qui tombent dans le jour même du périgée, ou dans l’un
des deux jours qui y sont contigus, perdent alors une grande partie de leur
propre influence ;
3°. Les points lunaires qui tombent le jour même de l'apogée, ou dans l’un des
deux jours qui y sont contigus, reçoivent au contraire de cette circonstance un
accroissement assez considérable dans leur propre influence sur l’atmosphère.
Ces trois résultats sont établis d'après un grand nombre de faits consultés qui
en constatent le fondement. Cependant, comme rien de ce qui concerne
l'atmosphère dans nos
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