jours qu'une grande majorité de ces points a été presque sans effets sur
l'atmosphère ou n’en a produit que de médiocres.
De même, sur un grand nombre de nouvelles lunes ou de pleines lunes, &c. tombant
dans le jour d'un lunistice ou dans son voisinage, on trouvera toujours qu'une
grande majorité de ces points a été presque sans effet sur l'atmosphère.
Enfin, de pareilles majorités d'influences inefficaces ne se rencontrent pas à
l'égard des points qui tombent près de l'équateur et même dans les jours
moyens.
Ce qui d'abord pourra paroître singulier, c'est qu'à mesure qu'on approche du
périgée, l'atmosphère indique, par son état, que l'influence de la lune augmente
d'une manière sensible ; et cependant tout point particulier qui arrive près du
périgée, perd alors une partie de sa puissance active.
La même chose arrive, mais en sens inverse, à l'égard de l'apogée ; car, à
mesure qu’on approche de cet apside, l'influence de la lune paroît s'affoiblir,
et cependant tout point particulier qui arrive près de l'apogée, acquiert alors
une augmentation très-sensible dans son influence.
En combinant ce qui a dû résulter d'une part de la lune plus rapprochée de la
terre dans son périgée, et de sa rapidité alors augmentée dans son orbite ; et
de l'autre part de la lune plus éloignée de la terre dans son apogée, et de la
lenteur du mouvement qu'elle
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