dération de la disposition générale des points lunaires dans chaque temps
particulier étoit un objet positif, qui n’embrassoit rien d’arbitraire, mais
seulement la comparaison des faits observés dans le cours de chaque sorte de ces
dispositions générales ; et qu’enfin la connoissance des résultats de chaque
disposition générale, étoit la clé de celles qui importent le plus en
météorologie.
Ici je vais m’occuper de fixer la méthode la plus propre à l’étude de la
disposition générale des points lunaires, c’est-à-dire, celle qui établit parmi
toutes les dispositions générales possibles, les distinctions les plus
convenables, afin que l’on puisse sans confusion et sans erreur, rapporter les
faits observés aux influences des dispositions qui les produisent.
Mais comme cette méthode, qui me paroît la seule qui conduise avec certitude au
but vers lequel on tend, est fort longue, exige beaucoup de temps, et ne peut
guère être en usage que dans un établissement public, perpétuel, et spécial pour
cet objet, je présenterai ensuite à mes lecteurs une méthode abrégée pour
assigner, par estimation et au premier abord, le caractère général probable des
saisons et des mois dans chaque sorte de disposition générale des points
lunaires.
|
|