lune arrive toujours loin de l’équateur, près du lunistice, et après lui elle
est lunisticiale postérieure.
Dans le second mois d’hiver, la nouvelle lune tombe toujours dans les jours
posticiaux.
Dans le troisième mois d’hiver, la nouvelle lune arrive toujours dans les jours
équinoxiaux postérieurs et par conséquent près de l’équateur.
Dans le premier mois du printems, la nouvelle lune arrive toujours dans les
jours équinoxiaux antérieurs.
Dans le second mois du printems, c’est dans les jours anticiaux qu’arrive la
nouvelle lune.
Dans le troisième mois du printems, c’est toujours loin de l’équateur, et dans
les jours lunisticiaux antérieurs que la nouvelle lune arrive.
Je n’ai pas besoin de dire que dans les trois mois d’été, la nouvelle lune
arrive successivement, d’abord dans les jours lunisticiaux postérieurs, ensuite
dans les jours posticiaux ; enfin dans les jours équinoxiaux postérieurs, et que
dans les trois mois d’automne, la nouvelle lune arrive aussi successivement,
d’abord dans les jours équinoxiaux antérieurs, ensuite dans les jours anticiaux,
enfin dans les jours lunisticiaux antérieurs.
Tout ce que je viens d’exposer à l’égard de l’arrivée des nouvelles lunes dans
les différens mois de l’année, est constant pour toutes les années quelconques ;
parce que les nouvelles
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