isolés et réduits comme moi à leurs propres moyens, ne pourront employer dans
leurs études météorologiques, que la seconde méthode que je viens de présenter,
c’est-à-dire, que ma méthode abrégée d’estimer au premier coup-d’œil, à l’aide
du tableau des saisons, la puissance de chaque circonstance dans chaque temps
déterminé.
Le peu d’usage que j’ai déjà fait de cette méthode d’estimation, m’a donné pour
résultats les aperçus suivans : d’après leur importance, j’invite les
météorologistes à les vérifier à mesure que cela se pourra, et à rectifier à
leur égard tout ce qui devra l’être.
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