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LivresAnnuaires météorologiques
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tiers. La sécheresse a même commencé vingt-cinq jours avant le premier jour 
d’été ; elle a duré trois mois moins six jours. Les vents boréaux ont été 
dominans de 18 jours, et les vents orientaux ont soufflé vingt-neuf jours. On a 
eu trois jours de pluie dans le premier mois, deux jours dans le second, et 
dix-huit jours dans le troisième. Quoique les chaleurs aient été fort longues, 
la plus forte chaleur n’a été que de vingt-sept degrés et un quart au-dessus de 
zéro.
 

Dans l’été de 1803, l’apogée étoit austral, mais équinoxial antérieur 2, et le 
nœud étoit posticial 1. Il est évident que dans une disposition semblable aucune 
sysygie ne pouvoit rencontrer ou avoisiner aucun apside.
 

Cet été a été chaud et sec. Les vents boréaux ont dominé de vingt-six jours ; on 
en a eu soixante-onze jours. Pendant trois mois et deux jours, le baromètre 
s’est soutenu au-dessus de son terme moyen. On n’a eu que dix-huit jours de 
pluie, savoir : sept jour dans le premier mois, cinq dans le second et six dans 
le troisième. La plus forte chaleur a été de vingt-neuf degrés et demi au-dessus 
de zéro. On a eu soixante jours de vents orientaux.
 

Enfin, dans l’été de 1807, c’est-à-dire dans l’été dernier, l’apogée étoit 
austral, équinoxial post. 1, dans le premier mois, et ensuite il fut boréal 
équinoxial ant. 1. Le nœud étoit lunisticial antérieur.
 

On voit, par le tableau des saisons, que

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