Home Quick search by word (titles and texts)
LivresAnnuaires météorologiques
Page browser
|<  << Page : 126 >> >|
quarante-cinq jours de pluie. La plus grande chaleur n’a été que de vingt-deux 
degrés au-dessus de zéro.
 

Dans l’été de 1797 (de l’an 5), et dans celui de 1805 (de l’an 13), l’apogée 
étoit austral, mais lunisticial précis et postérieur, et ces deux étés furent 
aussi très-pluvieux.
 

A ces quinze aperçus ou principes sur les causes qui font varier le caractère 
des saisons, il faudra peut-être apporter plusieurs modifications, ou ajouter 
quelques considérations qui m’ont échappé ; mais je puis assurer d’avance que 
ces principes devront être conservés dans ce qu’ils ont d’essentiel.
 

Ici se termine tout ce que j’avois à dire sur la disposition générale des points 
lunaires et sur la manière d’en étudier les résultats : passons maintenant à 
l’étude des points lunaires considérés particulièrement. 

© 2000-2006, CNRS-Centre Alexandre Koyré, histoire des sciences et des techniques, UMR 8560. Directeur de publication : Pietro Corsi - version du site : 4.5.1
CMS : ICEberg-DB v3.0, © 1999-2006, CNRS/CRHST-Stéphane Pouyllau.