quarante-cinq jours de pluie. La plus grande chaleur n’a été que de vingt-deux
degrés au-dessus de zéro.
Dans l’été de 1797 (de l’an 5), et dans celui de 1805 (de l’an 13), l’apogée
étoit austral, mais lunisticial précis et postérieur, et ces deux étés furent
aussi très-pluvieux.
A ces quinze aperçus ou principes sur les causes qui font varier le caractère
des saisons, il faudra peut-être apporter plusieurs modifications, ou ajouter
quelques considérations qui m’ont échappé ; mais je puis assurer d’avance que
ces principes devront être conservés dans ce qu’ils ont d’essentiel.
Ici se termine tout ce que j’avois à dire sur la disposition générale des points
lunaires et sur la manière d’en étudier les résultats : passons maintenant à
l’étude des points lunaires considérés particulièrement.
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