d’influence sur l’atmosphère, telle disposition générale des systêmes d’action
de la lune peut produire pendant sa durée, dans telle saison, dans tel mois,
etc. et quelle modification cette disposition générale opère sur les points
lunaires, qui arrivent dans le cours de cette circonstance.
Maintenant, relativement aux influences particulières et passagères que
produisent les points lunaires à mesure qu’ils arrivent, il s’agit de fixer, par
l’observation de leurs effets, quelle est la puissance propre de chacune de ces
influences, et quelle augmentation ou diminution cette puissance reçoit tant de
la disposition générale des autres systêmes d’action, que de l’état où se trouve
l’atmosphère au moment où cette puissance s’exerce.
Si, depuis plus d’un siècle et demi que les sciences physiques ont commencé à
être cultivées d’une manière éminente, l’on eût suivi cette marche à l’égard de
la météorologie ; si l’on eût reconnu et étudié les différens systêmes d’action
de la lune et du soleil sur l’atmosphère ; si l’on eût distingué méthodiquement
chaque sorte de disposition générale de ces systêmes d’action ; si l’on eût
examiné et noté constamment ce que nous a présenté l’atmosphère de nos climats,
dans le cours de chaque disposition générale des sytêmes d’action dont il s’agit
; enfin, si l’on eût considéré soigneusement ce qui s’est passé dans notre
atmosphère à l’arrivée de
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