développement des articles, que je m’occupois encore que bien foiblement de
l'Annuaire et que j'y attachois moi-même peu d'importance. Aussi huit jours,
dans lesquels je n'y employois que quelques heures, me suffisoient pour en
expédier la composition. J'étois plus occupé à observer, à comparer les
observations, à chercher une méthode pour me diriger dans l'étude, qu'à rien
arrêter, en un mot qu'à poser des principes.
Cependant lès idées principales du discours préliminaire me paroissent encore
fondées ; mais elles ne précisent rien sur les probabilités, et celles qui se
trouvent dans ce numéro sont encore presque uniquement appuyées sur les deux
déclinaisons dé la lune.
J'ai cherché (page 102) à fixer les idées sur ce que l’on doit appeler le beau
temps, et j'y ai remarqué qu'on pouvoit en avoir pendant le cours de toute
espèce de vent. J'exprime ensuite mon sentiment sur le caractère général
d'influence de chacun des vents principaux qui soufflent dans le climat de
Paris. Je regarde encore comme fondé ce que j'ai exposé dans ce petit article,
sauf que le vent de sud-ouest est plus commun encore à Paris que le vent
d'ouest, et que le vent de nord-est l'est plus que celui de nord ; ce que je n'y
avois pas désigné ainsi.
L'article sur l'influence des déclinaisons et des points lunaires (page, 109),
ne présente rien à corriger ; mais il manque de développement. Il mentionne, à
la fin de la
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