de la météorologie, des réflexions solides qui doivent être conservées pour le
temps où l'on s'occupera de cette étude, parce qu'il sera très-avantageux d'y
avoir égard.
L'article (page 73) offrant des résultats d'observations faites à Paris pendant
l'an IX (1801), peut être négligé, parce que dans cet article je n'ai considéré
que le produit des deux déclinaisons de la lune. En météorologie j'ai reconnu
qu'aucune considération isolée n'a assez de valeur en elle-même pour donner lieu
à des conséquences solides.
Je passe l'extrait des observations géorgico-météorologiques dé M. POEDERLÉ : je
n'ai pas continué d'en insérer de semblables dans les numéros suivans, malgré
leur l'intérêt, parce qu'elles tiennent trop de place dans ce petit ouvrage.
L'article Considérations sur la nécessité d'avoir un but, etc. (page 102)
contient d'abord des réflexions dont on ne sauroit contester le fondement ;
ensuite quelques vues très-utiles sur les différentes sortes d'observations et
sur celles qui sont les plus importantes ; enfin le modèle d'un tableau
d'observations nécessairement limité par les équinoxes lunaires. Je tiens
fortement à ce modèle, étant plus que jamais convaincu que c'est le seul qui
puisse faire parvenir aux connoissances que l'on désire, parce qu'il met les
faits recueillis en comparaison avec les circonstances dans lesquelles ils ont
été
|
|