tamment une colonne pour noter les huit points lunaires influens ; savoir, les
deux apsides, les deux syzigies, les deux quadratures, les deux lunistices et
les deux équinoxes lunaires.
Il faudrait ensuite que ces observations ou fussent publiées ou que l'on voulût
bien me les communiquer. Mais je n'ai d'autre titre pour les obtenir que la
considération de mon zèle pour les progrès de la météorologie, de mon goût
habituel pour l'observation, et sur-tout des vues particulières qui en ont
résulté et qui vraisemblablement me mettroient dans le cas d'employer utilement
ces matériaux. Je ne puis donc, à cet égard, qu'inviter ceux qui aiment les
connaissances utiles à vouloir bien coopérer avec moi à des recherches qui
peuvent avoir un grand intérêt et reculer les bornes de la météorologie.
|
|