chacun pour chaque jour, une valeur particuliére que l’observation des faits me
met dans le cas de rectifier à mesure que j'en fais l'application.
Ces valeurs réunies chaque jour, me donnent pour résultat un nombre qui renvoie
dans l'échelle générale du quartier de l'année, à un nombre semblable qu'on
trouve dans le champ indiqué par une lettre majuscule.
Là, c'est-à-dire dans le champ où l'on est renvoyé, on trouve, pour le jour que
l'on considère, l'indication des effets qu'on doit attendre de l'influence de la
lune et du soleil sur l'atmosphère, défalcation faite des différences que la
lumière solaire apporte dans les effets de cette influence.
Mais les effets indiqués et promis, quoique très-bons et très-utiles à
considérer d'avance pour se guider dans ses entreprises, ne sont que des
probabilités, et ne peuvent être exprimés avec précision, parce qu'ils sont
exposés à des altérations et même à des renversemens, qui quelquefois
non-seulement les effacent entièrement, mais même les transforment en effets
d'une nature opposée. Cela arrive sans qu'on puisse, avec raison, regarder les
influences sidérales qui devoient les produire tels qu'on les attendoit, comme
n'ayant point de fondement : en voici la raison.
Dans le sein d'un fluide aussi peu dense, aussi mobile, et aussi facilement
déplaçable que l'est l'air atmosphérique, un courant excité ou produit par une
influence sidérale et
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