rale, constituent l’une des branches dont il vient d’être question, et nous
semblent la terminer ;
4°. Que les vers qui viennent ensuite, nous offrent la seconde branche, et
commencent la grande et belle série des animaux articulés ;
5°. Que les tuniciers forment la troisième des branches que produisent les
polypes, et constituent la série des animaux inarticulés dans toutes leurs
parties ;
6°. Que les insectes, après une lacune que les épizoaires semblent remplir,
offrent, parmi les animaux articulés, l’une des classes les plus étendues et les
plus intéressantes ;
7°. Que les arachnides, si rapprochées des insectes sous certaines
considérations, mais qui en sont très-distinctes, sont encore des animaux
articulés qui paraissent avoir été commencés simultanément avec les insectes les
plus imparfaits, et dont la plupart néanmoins ont l’organisation plus avancée en
composition que celle de ces animaux ;
8°. Que les crustacés, plus perfectionnés encore, sont aussi des animaux
articulés, et proviennent d’une branche qui se sépare des arachnides ; ces
crustacés offrant eux-mêmes un rameau ( les entomostracés de Muller ) que je
crois conduire aux cirrhipèdes ;
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