alors vous aurez posé des limites à cette multitude d’hypothèses qu’on forme
tous les jours, d’après la considération d’un nombre quelconque de faits
physiques que l’on examine, et vous aurez fait faire de vrais progrès à la
science.
Si, par des considérations qui peuvent vous intéresser particulièrement, vous
refusez de prononcer ou de chercher à le faire ; la postérité vous attend et
jugera.
FIN.