de ce petit ouvrage, sans en avoir formé le projet.
Je fus en outre déterminé à l’étendre, en y employant des matériaux que je
réservois pour ma Biologie ; parce que, considérant que je suis extrêmement
surchargé de travaux relatifs aux Sciences physiques et naturelles, et
remarquant néanmoins que ma santé et mes forces sont considérablement
affoiblies, j’ai craint de ne pouvoir exécuter ma Biologie (1), à laquelle je ne
projette de mettre la dernière main qu’après avoir publié mes observations sur
la Météorologie, qui feront le complément de ma Physique terrestre.
Je sais bien que la nouveauté des considérations exposées dans cet écrit, et
sur-tout que leur extrême dissemblance avec ce qu’on est dans l’usage de penser
à cet égard, exigeoient des développemens plus étendus pour que le fonde-
[fondement]
(1) Voyez mon Hydréologie p. 188.
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