points non-seulement se déplacent sans cesse les uns à l’égard des autres ;
mais, en outre, ils ne tombent pas constamment aux mêmes époques des mois de
l’année. Leur déplacement dans chaque mois suit un ordre assez régulier, mais il
s’opère en remontant du 30 vers le premier du mois, et non en descendant du
premier vers le 30.
Voici l’état et l’énumération des points lunaires mestraux, dont il importe de
connoître l’influence particulière que chacun d’eux, à son arrivée, exerce sur
l’atmosphère.
1. La nouvelle lune.
2. La pleine lune.
3. Le 1er quartier.
4. Le der quartier.
5. L’apogée.
6. Le périgée.
7. Le nœud.
8. Le contre-nœud.
9. Le premier octan.
10. Le second octan.
11. Le troisième octan.
12. Le quatrième octan.
13. Le lunistice boréal.
14. Le lunistice austral.
N’ayant jamais pu parvenir à m’assurer si les équinoxes lunaires, soit
ascendans, soit descendans, exercent sur l’atmosphère quelqu’influence à leur
arrivée, je ne les comprends point parmi les points mestraux influens ;
conséquemment le nombre de ceux-ci se trouve réduit à 14.
Lorsque l’un de ces points lunaires arrive, il manifeste principalement son
influence sur l’atmosphère aux époques du lever de la lune, de son passage au
méridien et de celui à l’anti-méridien. Néanmoins, indépendamment des effets
qu’un point mestral produit
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