midor et de fructidor, le périgée tombant dans les derniers jours moyens ou dans
les jours lunisticiaux des constitutions boréales, ces circonstances soient
coïncidentes avec le champ de la conjonction inférieure de Vénus ?
Pour vérifier cette conjecture, il faut remonter à l'époque, sans doute depuis
longtemps passée, où une pareille réunion de circonstances a eu lieu, et
comparer les faits alors recueillis avec ceux qu'a offerts notre dernier été.
Cela fait, on n'auroit encore pour s'éclairer qu'une seule comparaison : on sent
donc que plus on la multipliera, plus les moyens pour prononcer auront de
valeur.
Le peu de chaleurs qu'on eut à Paris cet été, se firent sentir dans les premiers
jours de messidor, comme du 1er au 9 : le thermomètre monta le 7 jusqu'à 26
degrés.
FIN
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