qu'on nomme chimie, aura-t-elle des principes solides, non vacillans, et
sera-t-elle affranchie des hypothèses et de cet arbitraire de raisonnement qui
font changer à peu près, tous les demi-siècles, les bases de la théorie que l'on
suit dans le cours de chaque époque ?
RÉPONSE.
Lorsque la matière du feu, ses qualités propres et les modifications qu'elle est
susceptible d'éprouver, seront parfaitement connues ; et lorsqu'on ne la prendra
plus, dans chacun des états différens où on la rencontre, pour autant de
matières particulières existantes essentiellement dans la Nature.
Nota. Ce Mémoire a été imprimé dans le Journal de Physique, mois de floréal an
7. J'y ai fait des additions.
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