est depuis long-tems envahie par les eaux marines qui en ont séparé la
Nouvelle-Hollande, et qui, en s'ouvrant des passages dans ces régions, ont formé
l’archipel des Moluques et des Philippines ; archipel que l'on peut comparer à
celui des Antilles, ayant été formé par la même cause, p. 49 et suiv.
B.
BASE essentielle de la théorie des chimistes modernes, mise en opposition avec
celle de la théorie que j'ai proposée, p. 103.
BASSIN DES MERS : Il doit son existence et sa conservation aux mouvemens
perpétuels d'oscillation des eaux marines, entretenus principalement par
l'influence de la lune, p. 28 et suiv. Ce bassin se déplace continuellement, et
parcourt, quoiqu'avec une lenteur presque inappréciable, tous les points de la
surface du globe, p. 39 et suiv.
C.
CARBONE (le) : C'est la même chose que le phlogistique des uns, le principe
inflammable des autres, le feu fixé carbonique de ma théorie. Il est formé
directement et primitivement par les végétaux, à l'aide de l’influence de la
lumière, et peut faire partie de matières, soit solides, soit fluides, soit
gazeuses, pag. 111 et 156 ; uni très-intimement à une base terreuse appropriée,
il forme alors, selon ses proportions de combinaison, diverses matières
métalliques, p. 157 et 202 à 210.
CATASTROPHE UNIVERSELLE : Il est possible que le globe terrestre en ait essuyé
une, mais l’état de la surface et de la croûte externe de ce globe ne le prouve
nulle- [nullement]
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