ment ; ainsi rien n'autorise cette conjecture, pag. 68. Cet état de la croûte
externe du globe a pu être tel que nous le voyons actuellement, par l’influence
des mouvemens des eaux douces et des eaux marines p. 10 et suiv. ; par les
déplacemens des points polaires et des élévations équatoriales, pag. 52, 53 et
178 ; enfin par l’influence même des corps vivans et des mutations successives
que subissent leurs dépouilles, p. 115 et suiv.
CENTRE DE GRAVITÉ DU GLOBE : Il n'est pas le même que le centre de forme ; il se
déplace et fait une révolution autour de celui-ci en même tems que le bassin des
mers et que les points polaires font la leur, pag. 34 et suiv.
COMPARAISON importante de la chaux vive avec le charbon : elle jette un grand
jour sur l’état de combinaison du feu fixé dans chacune de ces matières, et qui
s'y trouve au maximum dans l’une comme dans l’autre, p. 199 à 203.
COQUILLES FOSSILES : La presque totalité de celles qu'on trouve dans toutes les
parties découvertes du globe, et qui y sont en quantité au moins aussi
considérable que dans les mers même, sont des coquilles marines, p. 63 et suiv.
On doit les distinguer en coquilles littorales et en coquilles pélagiennes, p.
64, 85 et 86.
CORPS VIVANS : Leur action organique forme sans cesse des combinaisons qui
n'eussent jamais existé sans cette cause, pag. 105, 116 et 117. Leurs détritus
donnent lieu à la formation des minéraux, p. 115 et suiv.
CRAIES (les) : Elles proviennent toutes des animaux qui, au moyen des fonctions
de leurs organes, ont eux-mêmes formé ces matières ; en sorte qu'elles n'eussent
jamais existé sans eux, pag. 77 à 83, 153, 156.
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