c'est-à-dire provocatrices du dégagement de leurs principes, p. 163.
FOSSILES : Ce que c'est, p. 55 et 56. La quantité considérable de corps marins
fossiles qu’on trouve dans les parties sèches du globe, et l’état dans lequel on
les y observe, prouvent que la mer a séjourné long-tems dans les lieux où ces
corps se rencontrent, pag. 65 et suiv.
G.
GRANIT (le) : Ce n’est point une matière primitive ; car ses composans ou leurs
dérivés proviennent des corps vivans qui, dans ce cas, ont nécessairement
préexisté, p. 138 et suiv. Les roches composées qu’on nomme granits, ont été
formées dans le bassin des mers. Elles résultent de dépôts de molécules
intégrantes de leurs composans, amenées successivemenet dans ce bassin par la
voie des fleuves, et qui, en se précipitant avec lenteur, ont pu s’agréger et
former les masses que nous retrouvons, p. 142 à 147. Le raccourcissement des
fleuves a dû disposer ces dépôts par séries ou par chaînes. Les plus hautes
chaînes de ces masses ont dû se former dans les élévations équatoriales par les
fleuves situés dans ces régions, p. 148, 149 et 180, 183.
L.
LAPIDESCENCE par sédimens, p. 125 ; par infiltration, p. 125 à 128.
M.
MATIÈRE DU FEU (la) : Employée comme instrument chimique dans les analyses, p.
189 ; par la voie sèche
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